C'est là qu'on peut se demander d'où vient la problématiques.
Ne sommes nous pas face a une société qui n'arrive pas a assimiler que que dans notre assiette nous avons des poissons qui se nourrissent de matières organiques avec laquelle nous avons des tabous, les ouah-houa comme tu le dis avec humour, ou les nécrophages, les bivalves filtrants l'eau.
Qu'en serait il, si les braves gens de la terre savaient ce que mangent les crabes, les homards, langoustes, les crevettes, les poissons, et les huitres, les moules dont ils raffolent à Noel, ou lors de fêtes?
Nous, les marins à proximité de la mer savons, sans que ça nous pose de probleme, l'eau est transparente nous permet de voir la réalité. mais, on remarque que les terriens ont plus de difficultés a se nourrir d'animaux qui ne sont pas herbivores. comme s'ils devaient adapter, surveiller le régime de l'animal qu'ils mangent.
je m'étais posé la question a l'époque de la création du parc d'Iroise, les courants, et les marées étaient telles qu'il ne pouvait rien rester d'une pompe de boite a ouah-ouah, les résultats des analyses faites par "les experts" ne pouvaient etre réels, et s'ils l'avaient été, le probleme serait ailleurs a 7 nœuds dans une zone qui est brassée par les coups de vents successifs et les tempêtes. l'heur des prélèvements auraient put nous en dire plus sur la provenance de ces analyses.
Je ne sais pas si vous avez vu un dauphin heureux, mais il se lâche et c'est autre chose que nous. et on ne les mange pas, les lottes ne sont jamais présenté sur les étales avec la tète, contrairement aux thon ou au espadons au requins (les petits)... il y a une sorte de délit de sale gueule et d'hygiénisme -" je ne vais pas manger un animal qui mange ça"
des décisions qui ne sont pas prise ailleurs que dans des cabinets des villes avec des urbains. |