Pour passer sur la jupe, lorsqu'on a un point haut (bossoirs...) pour s'accrocher est certainement plus facile....tant qu'il n'y a pas de houle.
Mais je persiste à penser que c'est à couple que la manœuvre est la plus facile, bien sûr quand le système est bien pensé et qu'il n'y a ps de filières à enjamber.
A ce sujet, j'avais vu un bateau (sans doute Amel) dont une partie du bastingage (avec des barreaux) s'ouvrait en biais pour former ainsi une échelle fixe, le long de la coque. Certainement une très agréable solution.....sauf quand on est à couple à tout-touche !
Et encore....dans le cas de Koala, avec une plateforme assez haute et une échelle profonde, le passage annexe-bateau et vice-versa se fait sans trop de difficulté, en s'accrochant au pataras...tant qu'il n'y a pas de houle.
En revanche lorsqu'il y a une jupe au ras de l'eau, le passage est, à mon avis, vraiment beaucoup plus difficile.
Amitiés
Je suis plus dans la configuration du bateau qui est à couple de toi. Et franchement passer de bateau à annexe se fait vraiment sans aucun problème d'autant que nous avons les bossoirs MPI en gros tubes qui sécurisent la manoeuvre. Le seul vrai problème intervient quand on a de la houle et du tangage. Il faut empêcher l'annexe de passer sous la jupe sinon c'est le retournement probable où la casse d'un aviron à minima. Mon annexe est une Highfield à coque rigide. Très facile à manoeuvrer mais plus instable à l'arrêt qu'une a plancher plat. J'ai fait un mouillage à Centuri en Corse avec un ancien bateau de 14M. Très sportif celui-ci caché derrière l'ilot et très pres des rochers. Remonter à bord dans la configuration qui est le tienne alors que le tangage était vraiment exagéré s'est avéré très difficile. Et une passagère s'est assez gravement blessée en effectuant son transfert. Jambe déchirée au niveau tibia sur 20 CM pas cool du tout. Comme quoi !!! rien n'est simple et qu'il faut surement adapter cette manoeuvre aux conditions du moment. J'ai gardé ça en souvenir et reste convaincu que dans ce cas le passage par le coté à hauteur des haubans aurait été plus malin même si aussi risqué pour le premier à monter. Pour les suivants on peut toujours assurer chez moi la manoeuvre avec une drisse et la SILZIG
Les nouveaux Amel son très bien pensé. A plus de 2 M€ la bête on peut au moins espérer ça. Restons réaliste la majorité des visiteurs des forums et du BDP ne naviguent pas sur ces bateaux ou nul n'est besoin de venir chercher des astuces pour les proprios. Ca c'est le boulot des hommes d'équipage qui font avancer le bateau.
Les nouveaux Amel son très bien pensé. A plus de 2 M€ la bête on peut au moins espérer ça. Restons réaliste la majorité des visiteurs des forums et du BDP ne naviguent pas sur ces bateaux ou nul n'est besoin de venir chercher des astuces pour les proprios. Ca c'est le boulot des hommes d'équipage qui font avancer le bateau.
Je crois qu’il est important de prendre en considération l’annexe en elle-même : sa forme, sa taille Une annexe longue avec une coque en V sera beaucoup plus stable qu’une annexe à fond plat et de faible longueur De même, si la manœuvre se fait à deux sans bagages, le transbordement sera plus secure que si l’annexe est chargée de cinq personnes avec des bagages. Une situation où, en général, chacun veut débarquer en premier
Si une solution valable pour tous existait, elle aurait sûrement étaittrouvée et pourquoi pas par un membre du BdP ! Ça dépend tellement du bateau (jupe, franc-bord....) de l'annexe (taille, type ....) et de l'équipage ( nombre, âge .....) et enfin de l'état du plan d'eau au moment de l'embarquement/débarquement. Malheureusement. Sur Igloo, si on est 2, vu la jupe de l'OVNI, j'embarque d'abord les sacs puis moi et je tiens l'annexe avec mes 2bras écartés et ma femme s'assoit sur la jupe et se glisse dans l'annexe gonflable à sol ridide. Tant que mes bras pourront maintenir l'annexe en position pour qu'elle ne s'engage pas sous la jupe, ça ira à l'aller comme au retour. Si on est plusieurs, même principe avec un équipier à l'avant de l'annexe, un à l'arrière aptes à assurer le job et embarquement du reste de l'équipage (4 max) même si l'agilité n'est pas au top-top. Voilà vous savez tout mais je doute qu'on puisse considérer cette méthode comme une "solution". Nous avons une amie phobique de l'eau qui a beaucoup de mal à débarquer de l'annexe (plus qu' à embarquer) et j'installe pour elle 2 bouts qui partent du bord de fuite de la jupe (échelle, davier de mouillage) vers le bord d'attaque du portique donc inclinés vers l'avant du bateau qui servent de main-courantes une fois debout dans l'annexe si personne n'a déjà embarqué pour l'aider. Igloo désolé
Si une solution valable pour tous existait, elle aurait sûrement étaittrouvée et pourquoi pas par un membre du BdP ! Ça dépend tellement du bateau (jupe, franc-bord....) de l'annexe (taille, type ....) et de l'équipage ( nombre, âge .....) et enfin de l'état du plan d'eau au moment de l'embarquement/débarquement. Malheureusement. Sur Igloo, si on est 2, vu la jupe de l'OVNI, j'embarque d'abord les sacs puis moi et je tiens l'annexe avec mes 2bras écartés et ma femme s'assoit sur la jupe et se glisse dans l'annexe gonflable à sol ridide. Tant que mes bras pourront maintenir l'annexe en position pour qu'elle ne s'engage pas sous la jupe, ça ira à l'aller comme au retour. Si on est plusieurs, même principe avec un équipier à l'avant de l'annexe, un à l'arrière aptes à assurer le job et embarquement du reste de l'équipage (4 max) même si l'agilité n'est pas au top-top. Voilà vous savez tout mais je doute qu'on puisse considérer cette méthode comme une "solution". Nous avons une amie phobique de l'eau qui a beaucoup de mal à débarquer de l'annexe (plus qu' à embarquer) et j'installe pour elle 2 bouts qui partent du bord de fuite de la jupe (échelle, davier de mouillage) vers le bord d'attaque du portique donc inclinés vers l'avant du bateau qui servent de main-courantes une fois debout dans l'annexe si personne n'a déjà embarqué pour l'aider. Igloo désolé
Bien que ne l'ayant pas expliqué aussi clairement, c'est aussi exactement comme cela qu'on fonctionne avec mon épouse et les équipiers qu'on embarque. Et de même jamais plus de 4 personnes à bord de notre annexe comme Igloo. Si on est 6 à bord on fera 2 voyages. Le souci éventuel c'est au retour si les conditions ont changé et qu'une houle s'invite au mouillage.
Pour les cas extrêmes prévisibles où les manœuvres ne sont pas sécurisables on privilégiera l'escale dans un port plutôt qu'au mouillage.
Si une solution valable pour tous existait, elle aurait sûrement étaittrouvée et pourquoi pas par un membre du BdP ! Ça dépend tellement du bateau (jupe, franc-bord....) de l'annexe (taille, type ....) et de l'équipage ( nombre, âge .....) et enfin de l'état du plan d'eau au moment de l'embarquement/débarquement. Malheureusement. Sur Igloo, si on est 2, vu la jupe de l'OVNI, j'embarque d'abord les sacs puis moi et je tiens l'annexe avec mes 2bras écartés et ma femme s'assoit sur la jupe et se glisse dans l'annexe gonflable à sol ridide. Tant que mes bras pourront maintenir l'annexe en position pour qu'elle ne s'engage pas sous la jupe, ça ira à l'aller comme au retour. Si on est plusieurs, même principe avec un équipier à l'avant de l'annexe, un à l'arrière aptes à assurer le job et embarquement du reste de l'équipage (4 max) même si l'agilité n'est pas au top-top. Voilà vous savez tout mais je doute qu'on puisse considérer cette méthode comme une "solution". Nous avons une amie phobique de l'eau qui a beaucoup de mal à débarquer de l'annexe (plus qu' à embarquer) et j'installe pour elle 2 bouts qui partent du bord de fuite de la jupe (échelle, davier de mouillage) vers le bord d'attaque du portique donc inclinés vers l'avant du bateau qui servent de main-courantes une fois debout dans l'annexe si personne n'a déjà embarqué pour l'aider. Igloo désolé
Bien que ne l'ayant pas expliqué aussi clairement, c'est aussi exactement comme cela qu'on fonctionne avec mon épouse et les équipiers qu'on embarque. Et de même jamais plus de 4 personnes à bord de notre annexe comme Igloo. Si on est 6 à bord on fera 2 voyages. Le souci éventuel c'est au retour si les conditions ont changé et qu'une houle s'invite au mouillage.
Pour les cas extrêmes prévisibles où les manœuvres ne sont pas sécurisables on privilégiera l'escale dans un port plutôt qu'au mouillage.
Je pensais à une sorte d’arceau rigide dont j’avais vu la démo sur YouTube. Dispositif fixé sur l’annexe, permettant une position debout sécurisée, facilitant le débarquement, en théorie du moins. Après quand il y a vraiment du clapot je descends puis assis sur la plate forme arrière je maintiens l’annexe avec les jambes tout en portant assistance aux personnes qui embarquent. Amitiés