Thélia a écrit : ↑sam. 19 oct. 2024, 10:18 pm
Dans l'énoncé de ma question première, je demandais en quel matériau est fait la dite Goupille de cisaillement.
Je ne suis pas stupide au point de mettre un boulon à la place...
Si j'en ai cassé deux, c'est dû à des lignes de pécheurs qui péchaient royalement dans le chenal du port et certaines lignes en travers et bien entendu non visibles... je suis rentré au port à la voile et ce ne fût pas simple car j'avais vent dans le nez, les quatre embarcations de pécheurs et un chenal peu large... donc des bords d'environs cent mètres rendu difficiles par le manque de vitesse au moment de virer. Alors oui je me suis pris le choux avec les pécheurs qui n'en avaient rien à battre et oui j'ai mis du temps. Alors j'ai peu être eu tort de partir sans goupille de rechange mais il y en a qui n'en ont jamais cassé, en avoir cassé une était un manque de chance... mais ça ne devait plus arriver avant 30 ans

...
Je pense qu'en décidant finalement de racheter une goupille origine tu prends la décision la plus sage pour ton moteur.
Mais je me pose une autre question à la relecture de ton message ci-dessus.
Avoir une goupille ou plusieurs à bord t'aurait-il permis de rentrer au port au moteur ???
Quand tu as constaté la rupture tu étais déjà dans le chenal. Il aurait fallu d'abord ressortir en mer à la voile (plus simple car alors vent AR) Puis remplacer la goupille sur le moteur qui j'imagine est sur une chaise et pèse son poids. Faire cette opération en mer sans perdre aucune pièce est-ce simple à faire ? Peut-être mais j'ai un doute.
Peux-tu nous dire ce que tu aurais pris comme décision si tu avais eu une goupille de rechange à bord ?
Je ne connais pas le port dans lequel tu te rendais. Peut-être qu'un appel VHF au port pour demander une assistance pour regagner ta place à quai sans risque était un solution ? En tous cas bravo pour ta rentrée à la voile certes plus simple avec un bateau léger et des conditions de vent faible.