Confort à bord (à la voile et au moteur)

[Koala]

J'ouvre ce fil qui regroupe, quelques remarques de Captain Cool, qui se trouvaient sur un autre sujet.

Captain Cool a écrit:

Y a pas a dire, ça donne toute de suite une autre "gueule" au bateau. Si sur un voilier, on chercher a optimiser au maximum la vitesse, en grappillant un demi nœud par ci et un autre par là, ce sont des réglages qui demandent de la finesse et de la sensibilité. le voilier a cet avantage, il peut perdre du temps, de la vitesse, il sera toujours en capacité d'avancer porté par le vent.  On a tendance a penser que naviguer au moteur est une solution de facilité, mais sur une vedette, on a un autre schéma celui de l'autonomie,  le bateau peut etre capable de vitesse exceptionnelles a plein régime, mais celles ci ne sont pas celles qui permettent d'aller le plus loin possible. la consommation du moteur n'est pas linéaire, pas plus que la vitesse est calée sur le régime comme une voiture. On a un calcule a faire qui est très fin aussi, mais moins "physique", la ou sur un voilier il faut border les voiles, arpenter le pont, la où sur une vedette, on est sur une carte avec une calculatrice et un cahier de brouillon a faire des calculs qui ressemblent a ceux d'un pilote d'avion. distance réelle (celle de la carte), distance corrigée avec les courants, la dérive et le vent) consommation horaire, état de la mer... A titre d'exemple, avec un reservoir de 520l comme le mien en gardant une réserve de sécurité de 120l, la consommation la plus basse n'est pas celle qui permet de parcourir la plus grande distance, dans mon cas, si je consomme 18l/h a 6nds, et 40l/h a 33nds, et 190l/h a 55nds, sans que ça ne paraisse, l'autonomie ne sera pas la même, dans le premier cas, on passera beaucoup plus de temps sur la mer sans parcourir une grande distance 22h et la distance parcourue sera de 130 MN, dans le second, on a une vitesse moyenne frustrante (même si elle peut paraitre énorme pour un voilier) mais on peut parcourir plus de Nautiques avec la même quantité de carburant, on a une autonomie de 10h et une distance de 330 MN, quant a la vitesse a plein régime, elle autorise 2h de navigation et une distance de 120MN.  Comme on a pas que ces 3 choix, mais toute la gamme qui va du ralenti pour la traine, jusqu'au régime maxi, la navigation d'une vedette prend en charge une multitude de facteurs l'heure des marée, la distance a parcourir, et l'heure d'arriver.  Dans certaines situations, comme le mauvais temps, qu'on soit en voilier où avec une vedette, on a nos limites, et la manière d'étaler est similaire, ça peut sembler curieux, mais on doit quelques fois se mettre a la cape, l'utilisation d'une ancre flottante... Avec une vedette etant incapable de pouvoir suivre un cap, avec une houle formée par le travers, le risque de chavirage est tel qu'il est préférable d'affronter les vagues par le travers avant plutôt que par l'arrière ou par le travers, partir en surf et piquer dans la vague. j'adore ce forum, parce que quelque soit le bateau, nous sommes des marins, un peu comme ceux qui font du Hand Ball, ou du ping-pong ce sont avant tout des sportifs. Captain Cool a écrit: Le silence n'existe pas en mer, mais on peut apprécier les voiles qui claquent, le bateau qui travaille, et le bruit des vagues. du vent dans le grément... Plutôt que le silence, ne vaut-il pas mieux parler de l'absence de bruit de moteur ? d'autant avec le modernisme, et le besoin de confort. Des amis sur un grand cata qui naviguent avec le groupe électrogène Panda pour assurer la production d'énergie pour la climatisation réversible, les plaques de cuisines, la cafetière, le frigo et le congélateur, les ordinateurs, la tv l'éclairage, le désalinisateur,  eau chaude... et tout ce qui occupe les enfants lors des grandes traversées La voile est a mon sens plus une manière de naviguer, un sport, parce que son coût ramener au mille n'est pas forcement inferieur a celui d'un bateau a moteur quant on voit le prix des voiles et leur durée de vie, le prix des drisses l'entretient des haubans, le cout des écoutes.... On voit certains voiliers tellement spartiates que la vie a bord semble une torture, je voyais a Cogolin un navigateur solitaire qui n'avait qu'un réchaud camping gaz, une glacière et un jerrican pour l'eau et une lampe frontale en guise d'éclairage a bord pour la nuit. cette vie a bord semblait lui plaire. mais ce n'est pas la majorité des marins, on apprécie de plus en plus le confort a bord, et qui dit confort, dit augmentation de la consommation énergétique que les panneaux solaires, et les éoliennes produise est inferieure aux besoins.  F3D73 a écrit: Citation: Le silence n'existe pas en mer, mais on peut apprécier les voiles qui claquent, le bateau qui travaille, et le bruit des vagues. du vent dans le grément... Plutôt que le silence, ne vaut-il pas mieux parler de l'absence de bruit de moteur ? Si tu veux juste une question de mots LOL D’un point de vu finance ..pour etre passe par là ….la révision de 2 moteurs I bord Diesel de 225 cv ainsi que les embases plus la consommation sur 1 an (en faisant 100 heures de navigation ou 4 semaines de vacances )!!! C’est sans commune mesure avec l’entretien d’un voilier … Juste 100 heures de GO par an c’est l’equivalent d’une GV tout les 5 ans …..et la révision de 2 D4 avec embases suivant les années c’est entre 2000 et 4000 euros) Donc pour faire rapide tout les ans tu dépenses l’equivalent d’un jeux de voile (entretien et carburant ) Mais c’est HSujet LOL ……

[Captain Cool]

Je te remercie d'ouvrir ce sujet qui je pense va permettre de se rendre compte que voile ou moteur, nous apprécions le confort et que comme nous ne sommes pas tout le temps en navigation, lors de nos mouillages, de nos escales, finalement, nous avons énormément de point communs. 

[Koala]

J'ouvre ce fil qui regroupe, quelques remarques de Captain Cool, qui se trouvaient sur un autre sujet.

Captain Cool wrote:

Y a pas a dire, ça donne toute de suite une autre "gueule" au bateau. Si sur un voilier, on chercher a optimiser au maximum la vitesse, en grappillant un demi nœud par ci et un autre par là, ce sont des réglages qui demandent de la finesse et de la sensibilité. le voilier a cet avantage, il peut perdre du temps, de la vitesse, il sera toujours en capacité d'avancer porté par le vent.  On a tendance a penser que naviguer au moteur est une solution de facilité, mais sur une vedette, on a un autre schéma celui de l'autonomie,  le bateau peut etre capable de vitesse exceptionnelles a plein régime, mais celles ci ne sont pas celles qui permettent d'aller le plus loin possible. la consommation du moteur n'est pas linéaire, pas plus que la vitesse est calée sur le régime comme une voiture. On a un calcule a faire qui est très fin aussi, mais moins "physique", la ou sur un voilier il faut border les voiles, arpenter le pont, la où sur une vedette, on est sur une carte avec une calculatrice et un cahier de brouillon a faire des calculs qui ressemblent a ceux d'un pilote d'avion. distance réelle (celle de la carte), distance corrigée avec les courants, la dérive et le vent) consommation horaire, état de la mer... A titre d'exemple, avec un reservoir de 520l comme le mien en gardant une réserve de sécurité de 120l, la consommation la plus basse n'est pas celle qui permet de parcourir la plus grande distance, dans mon cas, si je consomme 18l/h a 6nds, et 40l/h a 33nds, et 190l/h a 55nds, sans que ça ne paraisse, l'autonomie ne sera pas la même, dans le premier cas, on passera beaucoup plus de temps sur la mer sans parcourir une grande distance 22h et la distance parcourue sera de 130 MN, dans le second, on a une vitesse moyenne frustrante (même si elle peut paraitre énorme pour un voilier) mais on peut parcourir plus de Nautiques avec la même quantité de carburant, on a une autonomie de 10h et une distance de 330 MN, quant a la vitesse a plein régime, elle autorise 2h de navigation et une distance de 120MN.  Comme on a pas que ces 3 choix, mais toute la gamme qui va du ralenti pour la traine, jusqu'au régime maxi, la navigation d'une vedette prend en charge une multitude de facteurs l'heure des marée, la distance a parcourir, et l'heure d'arriver.  Dans certaines situations, comme le mauvais temps, qu'on soit en voilier où avec une vedette, on a nos limites, et la manière d'étaler est similaire, ça peut sembler curieux, mais on doit quelques fois se mettre a la cape, l'utilisation d'une ancre flottante... Avec une vedette etant incapable de pouvoir suivre un cap, avec une houle formée par le travers, le risque de chavirage est tel qu'il est préférable d'affronter les vagues par le travers avant plutôt que par l'arrière ou par le travers, partir en surf et piquer dans la vague. j'adore ce forum, parce que quelque soit le bateau, nous sommes des marins, un peu comme ceux qui font du Hand Ball, ou du ping-pong ce sont avant tout des sportifs. Captain Cool wrote: Le silence n'existe pas en mer, mais on peut apprécier les voiles qui claquent, le bateau qui travaille, et le bruit des vagues. du vent dans le grément... Plutôt que le silence, ne vaut-il pas mieux parler de l'absence de bruit de moteur ? d'autant avec le modernisme, et le besoin de confort. Des amis sur un grand cata qui naviguent avec le groupe électrogène Panda pour assurer la production d'énergie pour la climatisation réversible, les plaques de cuisines, la cafetière, le frigo et le congélateur, les ordinateurs, la tv l'éclairage, le désalinisateur,  eau chaude... et tout ce qui occupe les enfants lors des grandes traversées La voile est a mon sens plus une manière de naviguer, un sport, parce que son coût ramener au mille n'est pas forcement inferieur a celui d'un bateau a moteur quant on voit le prix des voiles et leur durée de vie, le prix des drisses l'entretient des haubans, le cout des écoutes.... On voit certains voiliers tellement spartiates que la vie a bord semble une torture, je voyais a Cogolin un navigateur solitaire qui n'avait qu'un réchaud camping gaz, une glacière et un jerrican pour l'eau et une lampe frontale en guise d'éclairage a bord pour la nuit. cette vie a bord semblait lui plaire. mais ce n'est pas la majorité des marins, on apprécie de plus en plus le confort a bord, et qui dit confort, dit augmentation de la consommation énergétique que les panneaux solaires, et les éoliennes produise est inferieure aux besoins.  F3D73 wrote: Quote: Le silence n'existe pas en mer, mais on peut apprécier les voiles qui claquent, le bateau qui travaille, et le bruit des vagues. du vent dans le grément... Plutôt que le silence, ne vaut-il pas mieux parler de l'absence de bruit de moteur ? Si tu veux juste une question de mots LOL D’un point de vu finance ..pour etre passe par là ….la révision de 2 moteurs I bord Diesel de 225 cv ainsi que les embases plus la consommation sur 1 an (en faisant 100 heures de navigation ou 4 semaines de vacances )!!! C’est sans commune mesure avec l’entretien d’un voilier … Juste 100 heures de GO par an c’est l’equivalent d’une GV tout les 5 ans …..et la révision de 2 D4 avec embases suivant les années c’est entre 2000 et 4000 euros) Donc pour faire rapide tout les ans tu dépenses l’equivalent d’un jeux de voile (entretien et carburant ) Mais c’est HSujet LOL ……

[Captain Cool]

Je te remercie d'ouvrir ce sujet qui je pense va permettre de se rendre compte que voile ou moteur, nous apprécions le confort et que comme nous ne sommes pas tout le temps en navigation, lors de nos mouillages, de nos escales, finalement, nous avons énormément de point communs. 

[Koala]

Voile ou moteur.... pour nos équipages de bateaux de croisière, il n'y a en effet pas de différence d'état d'esprit et de joie partagée.
La seule chose qui les distincte est la durée de navigation pour les étapes.

Évidemment, je ne parle pas des bateaux très rapides, utilisés pour le ski nautique ou autres sports, qui pourraient plus facilement se comparer aux planches à voile et autres kite-surf.

Amitiés

[olof]

Bonjour,
quoique... le confort, faut voir si c'est au port ou en mer...
Un soir, alors qu'on démarrait un apéro, on voit arriver le voisin de ponton qui avait une vedette de 9m avec 2 x 150cv et qui nous snobait un peu avec sa puissance moteur qui lui permettait - selon lui - de faire le tour de la Méditerranée pendant que nous, dans le même temps, on allait péniblement au Cap d'Agde.
Il était parti en croisière trois semaines avant sur la Côte d'Azur, et pas plutôt arrivé, son épouse a sauté sur le ponton pour finir à genoux de vomir son quatre heures.
Lui, il avait tout ce qu'on peut désirer sur un bateau. Radar, AIS, deux GPS au cas où, une VHF fixe et une portable, le traceur, prop d'étrave, télé dans chaque cabine, frigo, congel, clim, convecteur pour l'hiver, un parc de batteries que quand il se connecte à la prise de quai, c'est lui qui alimente le Grau du Roi.
Bref... mieux, y a pas
Sauf que ce jour là, il y avait un très méchant coup de Tram sur la Camargue
Nous, on avait doublé les amarres, mais lui, il s'était mis en tête de rentrer de Carry le Rouet sur Port Camargue.
Il y avait des vagues de 2 à 3m , assez courtes comme la Med sait en produire, et comme personne ne lui avait appris à barrer à la lame, ( ce n'est pas au programme du Permis Côtier, ni même à celui du Hauturier)
ben, il a tout pris de face à fond pour suivre le cap le plus direct vers le but, confiant dans ses 300cv. 
Il nous a raconté que les vagues explosaient sur l'étrave et venaient se fracasser sur le pare-brise pendant qu'à l'intérieur du bateau, ils pensait être dans un shaker. 
Avec mon voilier, dans les mêmes conditions, avec la toile du temps, on peut laisser la cafetière sur le gaz sans problèmes.
Ils ont vendu le bateau à la fin de l'été, Madame ayant pété un plomb et refusant dorénavant de remettre un pied sur cette machine diabolique.
Comme quoi, la notion de confort, sur un bateau, ça reste subjectif...

[Igloo]

Intéressant. Il ne me vient pas spontanément d'associer le bateau de plaisance de taille modeste et le confort. Cela me semble antinomique. La plaisance est le seul moyen d'accéder au 3/4 de la surface de la terre: la mer. La contrepartie c'est d'accepter de vivre selon d'autres réalités. En premier lieu, de se remettre entre les mains des éléments et de nogocier le domaine des possibilités avec eux et d'aimer ça au nom d'une passion.
Je n'ai jamais compris ceux qui navigue et qui n'y trouve pas une plénitude. Après tout, en plaisance rien ne nous y force .
De la à cacher que bien des fois j'aurais préféré être ailleurs, au moins le temps d'accepter la situation, ce serait mentir.
Igloo sincère

[nautile]

Oui la taille du bateau est relative pour la notion de confort mais aussi la motivation.
Mon premier tour de Corse en bateau je l'ai fait sur un zodiac quille gonflable de 4m 4 à bord dont 2 enfants de 8 et 11 ans.
Ils dormaient a bord sous une bâche et nous sur les pontons dans nos duvets.
Nous en gardons un formidable souvenir....
Comme le dit Igloo petit grand bateau ,neuf ancien des fois on se dit mais qu'est ce que je fais là.

[Captain Cool]

A mon sens, la plaisance est a avant tout dédié aux la notion de plaisirs. On a donc une manière de naviguer qui nous ressemble, Parfois, c'est aussi une question de concessions dans le couple.

On a aussi un bateau qui nous ressemble. Comme notre maison, notre voiture, comme notre vie en fait.

La mer est aussi tellement riche, qu'elle offre a chacun la possibilité d'y trouver son bonheur.

Je vois des plaisanciers qui ne conçoivent que de vivre a l'extérieur, et la cabine n'est là que pour y ranger le matériel de sécurité, a contrario, d'autres apprécient de vivre a bord, d'y dormir, de cuisiner, d'admirer la mer qui n'est jamais identique, mais en étant abrités du soleil, du vent, de la pluie, et même de l'humidité.

Qu'on soit dans un voilier, ou dans une vedette, on a la possibilité s'équiper son bateau comme on le souhaite.

A dimensions égales, on peut tout de même noter que les voiliers sont souvent plus larges que les bateaux à moteurs, c'est quelques centimètres rendent un carré bien plus confortable. En terme d'espace.

En ce qui concerne les équipements, certains les trouveront indispensables, d'autres superflus.

Pour ma part, quant ma femme parle du Papito, elle ne sait pas dire notre, mais juste "ton bateau", et quant j'ai trouvé un Endurance 44, ça a faillit être une cause de divorce, j'ai toujours parcourus le monde, alors, avec un voilier, elle savait que je finirais aux Marquises. Alors le bateau, a condition d'avoir une limite en terme d'autonomie. Sic. Alors ça a été par obligation un bateau a moteur, et comme ma femme est habitué à son confort, le bateau devait ressembler a sa maison. D'où la nécessité de l'equipper avec tout ce qu'on peut considérer comme inutile. 🙄

J'avoue que je m'y suis fait, et j'apprécie.
La nuit dernière, je suis resté à bord en attendant le coups de vent, et j'rtait finalement ,comme dans un appartement, avec le chauffage, la TV,, je me suis même préparé un couscous pendant que dehors, c'était le déluge.
Quel bonheur de prendre une douche chaude et de se coucher dans ses draps secs, malgres les vents forts de la nuit, je n'ai rien entendu tant l'isolation du bateau est parfaite, et j'ai dormi d'une traite.

Ce matin, je remarque qu'il me manque une chose, de la luminosité, les 2 hublots du carré ne suffisent pas à apporter suffisamment de lumière naturelle dans le bateau. Le temps gris m'oblige à garder tout allumé, et malgres tout ça reste sombre.

[olof]

Ben moi, au niveau confort, je n'ai jamais confondu mes maisons et mes bateaux.
J'en suis à ma troisième maison, toutes construites sur mes plans, et il n'y manque rien. 
Et à mon sixième bateau: cinq voiliers et un pêche -promenade avec 2x130cv qui ne m'a pas apporté grand chose au niveau plaisir, mais qui m'a quand même motivé pour obtenir un permis hauturier et aussi permis de m'initier à la pêche au gros, et que j'ai abandonnés, pêche et bateau, après une saison.
En effet, passé le moment d'adrénaline quand on ramène un poisson de 120kgs à bord, après, c'est la déprime de voir un aussi bel animal réduit à une pauvre chose privée de vie découpée en morceaux  sur le ponton.
Du coup, je suis revenu au voilier.
Et là, le confort plus ou moins spartiate, ça ne me gêne pas.
Quand je vais habiter sur mon bateau,  de Juin à Septembre, c'est justement pour faire une rupture avec la vie à terre. Je soigne la literie, j'ai une super sono, j'ai  même acheté une guitare  très spéciale:
https://www.thomann.de/fr/lava_music_lava_me_2_e_bl.htm?glp=1&gclid=CjwKCAjwqeWKBhBFEiwABo_XBlY3x5AIlNr8XsYYRnnalO4BI1ZLujuXYAwa6agaTwGWeBmYWjKpfRoCGbMQAvD_BwE
qui supporte parfaitement bien la vie en mer et que je vous recommande, avec un petit ampli Roland Mobile Cube, c'est génial.
Mais au grand dam de mes petites-filles, hors de question d'avoir un poste de TV à bord. J'ai découvert l'existence d'Eric Zemour il y a quinze jours.
J'ai quand même un Raspberry qui me permet de suivre mes transactions et de faire mon courrier en me servant de mon mobile comme routeur, et basta.
Après, un frigo qui fait de gros bons glaçons pour l'apéro, les soirées avec les copains de ponton ou les rencontres en escale ou au mouillage, en ce qui me concerne, pas besoin de plus.