Ces derniers temps, les relations se tendent entre l'Angleterre et la France au sujet des licences de pêches.
La France envisagé dans les mesures de rétorsion après un zèle particulier destiné à décourager les bateaux d'accoster, d'interdit par la suite les ports français aux bateaux battant pavillon Britannique.
Mais ces décisions qui ont de grandes chances d'être bilatérales vont-elles toucher également les plaisanciers, ou seront-elles juste a l'endroit des professionnels ?
Allez savoir ??? Qui aurait le plus à perdre dans l'histoire ? Combien de plaisanciers FR vont passer les étés en UK versus les Britanniques qui viennent en FR ou qui y laissent leur bateau (en Bretagne par ex:)
Peut-être que le monde de la pêche professionnelle et celui de la plaisance n'ont pas grand chose à voir dans l'histoire de ce conflit récent. On peut comprendre la grogne des pêcheurs FR qui se voient avec des zones de pêche bien réduites dans le nord ou autour des Anglos par exemple. Et ne devrait-on pas ajouter que tout cela avait été négocié par les parties dans les accords de sortie de l'EU.
Sujet sensible qui pourrait vite tourner vers des débats qui sortent du contexte du BDP. Mais qui sera j'en suis sûr modéré si dérapage.
Ce qui nous concerne n'est pas le fond de la grogne, mais les conséquences qui pourraient en découler pour nous. Un débat sur le Brexit n'a pas d'intérêt. mais la Grande Bretagnes est a quelques encablures de la France ce qui rend tentante la traversée.
Ce sujet n'avait comme but que de suivre l'évolution, les obligations et les interdictions, les nouvelles règlementations pour les navigation transmanche.
Ce qui nous concerne n'est pas le fond de la grogne, mais les conséquences qui pourraient en découler pour nous. Un débat sur le Brexit n'a pas d'intérêt. mais la Grande Bretagnes est a quelques encablures de la France ce qui rend tentante la traversée.
Ce sujet n'avait comme but que de suivre l'évolution, les obligations et les interdictions, les nouvelles règlementations pour les navigation transmanche.
Pour l'instant les choses sont claires en ce qui nous concerne en tant que plaisanciers. Il n'y a pas de restriction pour rejoindre les cotes britanniques sinon que l'on revient un peu comme avant l'EU unifiée. Il faut impérativement un passeport valide pour chaque membre d'équipage depuis le 1 Octobre. Et il faut bien sur s'acquitter des formalités douanières avant de débarquer après avoir hissé le pavillon Q. Je n'ai pas connaissance d'autre chose mais cela peut évoluer. C'est déjà ennuyeux. Car un passeport à renouveler c'est un coût de 86 € pour celui qui n'en dispose pas. Et les délais pour l'obtenir varieront suivant les régions concernées. Le plus long étant d'obtenir le RDV en mairie pour le relevé d'empreintes informatisé souvent 1 à 2 mois d'attente. Ensuite il faut environ 3 semaines. On a pris nos disposition pour visiter UK en 2022.
On se croirait revenus a l'époque de la bataille de Trafalgar.
Il y a 5 heures Londres a convoqué l"ambassadeur de France, et envisage de contrôler et arraisonner les bateaux Européens dans les eaux britannique.
On est clairement dans une situation nous les gouvernants bombent le torce. Cette escalade devrait redescendre aussi vite qu'elle est montée ( enfin espérons le.) Un peu comme les dépressions que nous connaissons, plus le baromètre descend vite, plus le vent est violent mais de courte durée.
Je te souhaite de pouvoir avoir de meilleures croisières en 2022, que celles de 2020 et 2021.
Mais peut être que prévoir un plan B be serait pas superflus.
De l'eau va courir avant que la saison des navigations 2022 ne reprenne. Il sera bien temps à ce moment là de voir quelles sont les contraintes appliquées par les autorités britanniques vis à vis de la plaisance.
Je doute toutefois qu'ils se privent du tourisme et prennent le risque de mécontenter aussi leurs résidents plaisanciers. Le cas du conflit actuel concernant le secteur professionnel de la pêche me semble être un tout autre problème que celui de la plaisance.
Il y a toujours un plan B et même un plan C quand on envisage un voyage de quelques mois. Et ce ne serait-ce que pour palier les problèmes météo
De l'eau va courir avant que la saison des navigations 2022 ne reprenne. Il sera bien temps à ce moment là de voir quelles sont les contraintes appliquées par les autorités britanniques vis à vis de la plaisance.
Je doute toutefois qu'ils se privent du tourisme et prennent le risque de mécontenter aussi leurs résidents plaisanciers. Le cas du conflit actuel concernant le secteur professionnel de la pêche me semble être un tout autre problème que celui de la plaisance.
Il y a toujours un plan B et même un plan C quand on envisage un voyage de quelques mois. Et ce ne serait-ce que pour palier les problèmes météo
En Med, ça nous passe au dessus de la tête à une hauteur stratosphérique... Mais quand même les Anglais sont de sacrés casse-c.... Déjà, en 1988, lors d'une escale à Gibraltar, on avait eu droit à une fouille en règle du bateau, équipage consigné dans les locaux de la douane, seul le propriétaire toléré à bord pendant l'opération. Faut quand même dire pour être honnête que la photo de la carte d'identité de mon fils avait été un peu virilisée par ses copains qui y avaient rajouté une barbe et une moustache au feutre. Après la fouille, l'équipage a été libéré, et mon fils ramené sur le bateau entre deux douaniers avec interdiction de descendre à terre. Pas mécontents de s'en aller après avoir complété les pleins et rempli la cambuse...
Gibraltar est certainement un territoire sensible de la Grande Bretagne, où les autorités sont peu tolérantes à l'humour, surtout avec les documents officiels. Et avec la crise politique actuelle, ça ne devrait pas s'améliorer !
Enfin vous avez pu repartir, avec tous les pleins faits....donc c'était juste une réponse du berger à la bergère !!!