Utilisation tensiomètre Surecheck

[FullHaya]

On sera éloigné du sujet de base mais je ne résiste pas à répondre.
La régate, surement une très bonne école pour la performance. 
Si je devais m'y remettre un jour ce serait en monotypie pure et dure.
Hormis la préparation de carène et d'appendices qui seront peut-être plus soignés chez l'un que chez l'autre, c'est là qu'on juge vraiment la valeur des équipages. La VOR en est un bon exemple.


Pourquoi j'ai quitté le monde de la régate alors que mon épouse me dit sans arrêt que c'est ce que j'aime : la confrontation pour le meilleur.
1 - Je n'ai pas le bateau pour
2 - Je détestais l'ambiance qui régnait là ou j'ai pratiqué. 
3 - Pour gagner dans les courses Open c'est souvent l'obligation d'une chasse perpétuelle à l'armement quand ce n'est pas au remplacement du bateau tous les 2 ans
4- Des équipages qui cherchent à naviguer sur le meilleur bateau et qui te fuiront si un petit copain qui a le bateau qui gagne les débauche. Vraiment pas ma conception des rapports humain que je cherche.
5 - C'est toujours le propriétaire qui paie TOUT (et encore quand il ne paie pas les équipiers) Il faut un sacré budget si on vise la victoire. Ou un bon sponsor 


Alors pour conclure vive la plaisance

[Igloo]

Tout est vrai mais vu à travers une certaine lorgnette.
On n'est pas forcé de prendre justement celle la!
Pour ma part, je ne suis qu'équipier et bien naturellement participe aux frais d'inscription de la régate concernée. Parfois je convoie le bateau en solitaire d'un plan d'eau à l'autre. Le plus souvent au moteur car il faut être 3 pour hisser la GV ou 2 pour la voile d'avant!
Quand je prends cette autre lorgnette, je me vois sur un terrain de foot tous les dimanches matin, à affronter des équipes tout aussi dans les profondeurs du classement que la notre (Havre Instituteur Club soit le HIC (!) dans la ville du HAC) car je ne sais même plus si on en était à la Ligue Départementale.
Des bandes de copains bien décidés à prendre du bon temps et par tous les temps!.
Les régates de Clubs quoi! Et s'il y en a un plus fort que les autres, ce sera notre exemple à suivre.
Igloo

[chacha3]

Oui, tout est vrai; c'est pourquoi j'ai versé dans la catégorie "Coubertin".
Nous régatons à deux,sur un bateau dont la puissance dépasse nos capacités physiques, nous finissons fatigués mais heureux, surtout quand nous avons les honneurs de la ligne, ce qui nous arrive encore.
Le bateau est en configuration croisière, seuls les mouillages et les arceaux de bimini et de capote sont déchargés.
Les cuves à eau sont vides, la carène propre et les voiles de qualité.
C'est tout ce que mon emploi du temps me permet.
Mais dans 2 ans le circuit IRC en double Méditerranée nous attend. (Joies de la retraite).


Pour ce qui est du réglage du gréement, je crois les tensiomètres réservés aux trés petites unités et aux dériveurs dont le gréement reste souple.
Sur les unités de taille intermédiaire à partir d'un (bon) réglage standard on peut rajouter ou retirer quelques tours de ridoir, de manière symétrique. En n'oubliant pas après chaque sortie de revenir aux réglages de base.
Sur les plus gros, réglage hydraulique du pataras et du mât.
A la base du mât un Mast Jack : vérin hydraulique qui permet de soulever le mât sous lequel on glisse des cales d'épaisseur variable selon la tension souhaitée du gréement.
Ca permet aussi en enlevant les cales tourner les ridoirs à la main, gréement détendu.


Amitiés