Bonjour a tous. Un petit voilier (6 metres) pas d'enrouleur de génois, mer bien formée subitement, creux 1,5/2 metres. Empannage impossible, trop près d'obstacles Impossible de virer de bord, dès que je m'approchais du vent, la mer me refusait. Merci pour vos idées
Je déduis, d’après tes infos, que tu avais un vent de terre ou au mieux parallèle à la côte 🤔 Dans ce cas, si tu ne peux pas affaler le génois, tu choques tes écoutes à fond. Ton genois va battre mais tu auras tout loisir de t’occuper de la GV Une fois le foc libre, tu vires à 180 pour t’éloigner des dangers.
Tu seras alors vent arrière Tu récupères ton génois et après t’etre suffisamment éloigné des cailloux, tu pourras recalculer ta route pour arriver sur ta destination
Pour aider, tu peux aussi garder le génois a contre afin que le virement soit plus facile.
Et il ne faut pas toujours mettre la barre franche complétement en travers pour espérer faire virer le bateau plus rapidement, car il a tendance a ralentir la vitesse du bateau
Bonjour a tous. Alors, dans l'ordre.... Heriona...Lof pour lof= empannage; dans mon cas, impossible (voir pourqoui à la suite) Dalmcahd: Exact cqfd. Henri, ben non, JUSTEMENT, vend de SE, houle idem, la terre dans l'ouest TRES, TRES TRES, proche ( - de 300 metres), les écotes choquées à fond (libres...) effectivement, ça bat tres fort, le vent me pousse à la cote, la mer aussi, il faut que je fasse vite, le vent souffle de + en +, la mère, idem, je n'arrive pas à décoller, si j'avance de 20 metres, je recule d'autant, le problème (MON problème) ne vient pas du vent mais de la mer qui déferle, refuse ma maneuvre,en gros je ne parviens pas à virer de bord. Toapresdemain ... (lol), après réflexion, je pense que c'est ce que j'aurais dû faire (évidemment...........) lmais il faut être dans le moment T où çà se passe; mais c'est enregistré et...a essayer, c'est certain (plus j'y pense, plus je me dis que je suis con), evidemmennt, j'aurais viré génois à contre..... ben merci
Mais non tu est pas c.. , dans les maneuvre d'urgence il y a tellement de paramètres à prendre en conte en un minimum de temps , on fais se que l'on peut pour limiter la casse ... Et vue que tu nous en parle ici , c'est que tu a géré les choses temps bien que mal mais se qui conte c est le résultat , il y a pas eu de casse
Oui le genois à contre sa aide bien pour avoir vecu une situation similaire avec un serpantaire
Ben oui, Bushi, je m'en suis sorti, merci Monsieur Honda, je n'avais pas d'autre solution, même si ce n'est pas dans mes 《 idées》de me servir du moteur pour me dépatouiller, je gère tout à la voile mais là. .....C'etait ça ou le fossé. J'ai malgré tout, retenu la leçon et surtout vos idées, que ça puisse éventuellement être utile à d'autres. Encore merci
L année dernière je me présente dans la passe du raz de sein 8 noeud de vent au près à la fin de l'étal , et la d'un coup j'ai rien compris pétole à cette endroit la il y a toujours un peu de mer Et bien heureusement que j'avais le moteur pour me pousser un peu ou c'était retour à l'envoyeur 10 min plus tard je n'aurais rien pu faire contre le courant. C'est bien pratique de avoir un moteur qui démarre au quard de tour
En fait, ce n'est pas le vent mais la mer qui t'empêchait de virer.Pour avoir de la puissance et de la vitesse, il faut garder la voile du temps bordée à l'avant, quitte à la laisser à contre pour franchir le lit du vent. Quand la vague arrive, elle à tendance à faire tomber l'étrave sous le vent.Le moment favorable pour pousser la barre c'est au sommet de la vague. Le bateau prend un peu de vitesse en descendant le dos de la vague et doit être plus sensible à l'effet de la barre. La vague suivante devrait t'aider à finir ton virement. Tout ça c'est la théorie, il faut la mettre en pratique avec un peu de vent, pour s'entraîner. Et puis quand c'est vraiment scabreux moi je n'hésite pas à lancer le moteur. Il tourne au ralenti mais est prêt à servir au cas ou...