Dans le cas d'avoir à lutter contre des dominants établis, on a un choix très difficile à faire. Le plus court chemin qui est celui qui impose la lutte au plus près ou de refuser cette option et d'engager une manoeuvre de contournement pour plus de confort mais aussi moins de fatigue pour le bateau. Chemin beaucoup plus long trop souvent.
Dans le cas d'une météo cette fois défavorable avant de partir, on peut attendre, ou, en route, et deux options ........
Une préparation bien spécifique du bateau permet "d'adoucir" le calvaire.
Pouvoir préparer un petit déjeuner tous les matins, pas la partie solide de ce repas bien sûr mais la partie liquide.
A chacun sa solution mais il en faut une. Et ainsi de suite avec pour le déjeuner et diner .....
La composition de la cambuse a son importance car certains plats sont plus faciles à préparer mais pas seulement à avaler aussi.
Je ne souhaite à personne de vivre ce qu'à vécu Peitje (chapeau à lui) et je souhaite à tous de bonnes navigations.
Igloo, passé par cette épreuve