Et le poisson, maintenant, il y a tellement de choses dedans qu'il commence à ressembler à un monceau de plastique enrobé de pétrole, solvants, mercure, et j'en passe...
Le tout dans les graisses du poisson.
Dommage !
Une étude a montré que le plastique ne se dégrade pas comme on le pensait mais se désagrège en nano-morceaux qui finissent par circuler dans le sang et se fixer partout dans les muscles et organes, que ce soit chez les poissons ou les organismes terrestres, même dans les plantes...
Beurk !