Chaque fois que je pêche je laisse une traîne à la mer, avec ses rapalas , plombs et autres. Qui peut m'indiquer comment on fait le meilleur montage mais aussi combien, comment et quand on leste une ligne ? Tout ça pour éviter d'en laisser encore dans les fonds marins !!
En principe; si tu as un rapala efficace , et que ta vitesse est raisonnable , ton rapala travaille a deux troi metres de profondeur.
chaque rapala a un role differend ; ya des flotteurs , y a des plongeurs ,
ya des pseudos rapala sur lesquels tu teux regler la profondeur , en changeant la bavette!
sinon si tu ne mets pas de rapala plongeur que tu mets que des plumes , utilise la planchette japonnaise , et une cuillere en bout de traine , gree avec un petit emerillon,
la peche la meilleure se pratique dos au soleil et pour moi avec des rapalas rouges !
cela pour le maquerau bonites , bars
pour le thon meme petit faut passer a autre chose !
pour trainer au fond tres au fond , cherche , la criminelle c est une traine speciale efficace mais penible a manoeuvrer a bord!!!!
Pour ma part je mets ma ligne de traine a deux mètres environ au dessus du plomb de ma ligne plombée et je fixe mon plomb avec un fil cassant en cas d'acroche je perds seulement le plomb .Je fabrique moi même mes plombs de 1 kg a 2 kg avec des moules acheté sur Ebay et du plomb récupéré auprès des plombiers du coin.
Moi je suis tout aussi nul pour la pêche alors pour éviter de "plomber" mon budget, les plombs je les fait avec des galets que je perce . Il suffit de trouver de jolis galets bien lisses avec une forme de "goutte d'eau"... Ceci dit, je ne pêche pas plus.
Je vais même vous faire rire ... un jour j'ai remonté deux crabes à la traîne .... eh oui !!!
J'ai trouvé chez un marchand d'articles de pêche un plomb de 1 cm de diamétre et environ 10 cm de long en forme d'obut avec deux sortes de crochets et se fixe sur la ligne de traine à environ 4 à 5 m du leure ( voir plus ou moins je ne connais pas la bonne longueur) sans faire de coupure de fils on le met et on l'enléve trés rapidement grace aux crochets. Il en exsiste de plusieurs poids 200 , 400 ,600 g ; cela fait descendre le leure et pécher dans les fonds . Par contre la vitesse 3 à 4 neuds c'est ce qu'il faut. Bonne pêche Guy
Je ne suis pas pêcheur dans l'âme, mais pourquoi pas trainer du fil dans l'eau (j'ai fait un thon blanc de 4Kg en 2009 au large des cotes espagnoles) Alors, j'ai voulu faire mieux en Aout 2010 : une traine sur un tambour à main fixé sur le balcon arrière à tribord et une cane de traine dans son support à bâbord. Les deux avec du gros fil ! ! ! lorsqu'un "promène-couillon" m'arrivait droit dessus à 15 - 20 nœuds par le travers tribord, relèvement constant. M'avait-il aperçu ? ? ? Le temps de cogiter à une manœuvre d'évitement tout en me demandant si la solidité de mon bateau résisterait à un impact d'une boite à boulons à pleine vitesse, l'olibrius entamait une manœuvre type "baïonnette" à ras de mon tableau arrière. Dans l'instant, j'avais oublié mes deux traines. . . et ça n'a pas manqué : il m'a attrapé la ligne sur tambour qui s'est dévidé à une vitesse telle qu'il a explosé, recevant la manivelle en pleine poitrine (25cm plus haut, j'étais défiguré) le temps de réaliser, le Toto était déjà hors de portées de mes cris (et va relever le N° du zozo ! ! !) J'ai quand même pu ramener ce qui était ma ligne, avec l'inscription du pas de l'hélice en relief sur toute sa longueur : j'ai sauvé le rapala. Sous l'effet de la colère (mauvaise conseillère comme chacun sait) j'ai voulu remonter la ligne sur cane: c'est en la sortant de son support, en la levant donc, qu'elle s'est prise dans les pales de l'éolienne. Je vous laisse deviner le tableau ! Le fil est passé sur l'axe et s'est enroulé, entrainé par les pales jusqu'à bloquer l'éolienne . . . et ça va très très vite ! Je me souviens, à ce moment là, avoir inventé des mots pour injurier les "traine-cons" Du coup j'hésite, je ne sais pas si je vais reprendre la pêche . . . Mais que cela ne vous décourage pas . Bonne pêche à tous Roger
Ah oui Roger je vois tu fait fort ,mais il faut persévérer et un autre thon se fera le plaisir de monter a bord puis la comme par hasard on oublie toutes les déboires que l'on a connue auparavant.Comme dit un diction c'est en forgeant que l'on devient forgeron ; c'est bien le cas pour la pêche car rien ne vaut l’expérience en la matière qui s’acquière avec la pratique donc il faut persévérer Roger.La prochaine fois tu pensera a relever la ligne et tu te rappellera que tu a une éolienne a bord .A qui n'est arrivé se genre de déboires a ses débuts de pêche !!