http://www.ffvoile.fr/ffv/web/services/securite/documents/D240_Comparatif_R…
On a parlé de la barre franche de secours sous l'angle de sa mise en oeuvre en urgence. La règlementation ne s'occupe que du matériel obligatoire à bord et laisse à l'usager le coté pratique de la chose.
Voici quelques autres points qui faisaient partie de la liste établie pour cette Transat évoquée et qui ne sont restés en mémoire.
Le type de fixation de la gazinière. Non pas à la cardan ou non, mais sécurisée sur ces axes ou fixations.
J'essayais de sortir la gazinière de son logement pour constater si elle en sortait ou non. Trop dangereux au cas où le bateau serait couché voire pire. Si elle sortait, les travaux devaient être fait avant départ.
La Porte de la descente. Egalement solidaire du bateau. Imaginez que vous deviez sortir dans le cockpit en pleine tempête, que vous posiez la porte sur un banc de cockpit et qu'elle parte à l'eau. Même punition.
La bringuebale de la pompe de cale. Généralement la pompe manuelle n'est utilisable que du cockpit et la bringuebale (la manivelle) doit être enquillée dans la pompe. On pourrait l'y laisser et la lâcher. Erreur, si elle n'est pas solidaire du bateau aussi.
Vous voyez que du bon sens facile à trouver par soi-même quand on cherche à se mettre en situation avec clairvoyance et "honnêteté", pas de déni. Pensez au pire ne le fait pas advenir.
N'oubliez pas 240 bateaux de toutes origines issus de pays aux règlementations propres et si différentes.
C'est un domaine où l'organisateur se doit de définir ses standards de sécurité. C'est ce que fait la FFV.
Pour ce qui est des compétences comme navigateurs des cours étaient organisés mais sous le principe du volontariat. La responsabilité de mener son bateau reste entière aux skippers.
Igloo bavard