Idées a rajouter aux procedures des tests des survies

[Tosamdy]

Voila, j'ai quelques idées pour nos futures tests de survies

Donnez aussi vos idées, je les monterais sur ce post pour les retrouver facilement





A terre :


- Je pense que si une survie ne percute pas, il faut essayer de la gonfler avec le gonfleur fourni, ou même a la bouche s'il ne fonctionne pas. Car en situation réel, si le bateau ne coule pas trop vite, nous serions bien obligé de le faire. Bien sur dans ce cas, il faut noter le temps qu'il aura fallut pour le faire






Dans l'eau :


- Je serais pense qu'il faut voir s'il est possible de faire couler le radeau non percuter. Si je souhaite faire le teste c'est par rapport a l'emplacement des radeaux dans les bateaux (que nous avions parlé pour les députés). En effet, s'il est dans un coffre (comme le miens sous la barre) et que le bateau se retourne (je sais c'est rare, mais possible). Est ce qu'il est possible de nager sous le bateau est de sortir le BIB (j'en doute)

[dalchmad]

Bonjour,

Tosamdy a écrit:

A terre : - Je pense que si une survie ne percute pas, il faut essayer de la gonfler avec le gonfleur fourni, ou même a la bouche s'il ne fonctionne pas. Car en situation réel, si le bateau ne coule pas trop vite, nous serions bien obligé de le faire. Bien sur dans ce cas, il faut noter le temps qu'il aura fallut pour le faire

A terre, je pense que tu veux dire à bord ?


Les tests, bien sur, ont lieu à terre mais, si on teste l'ouverture manuelle  c'est pour en déterminer la faisabilité à bord.


Pour vérifier cette hypothèse, il faut définir dans un espace très limité :

- Comment ouvrir la survie (dé-sanglage, extraction avec le risque qu'elle se réveille à ce moment, etc...)
- Trouver et  extraire le gonfleur...
- Comment l'étaler sur le pont et trouver les valves de gonflage
- etc...


Amicalement
Jean-Claude

[dalchmad]

Bonjour,

Tosamdy wrote:

A terre : - Je pense que si une survie ne percute pas, il faut essayer de la gonfler avec le gonfleur fourni, ou même a la bouche s'il ne fonctionne pas. Car en situation réel, si le bateau ne coule pas trop vite, nous serions bien obligé de le faire. Bien sur dans ce cas, il faut noter le temps qu'il aura fallut pour le faire

A terre, je pense que tu veux dire à bord ?


Les tests, bien sur, ont lieu à terre mais, si on teste l'ouverture manuelle  c'est pour en déterminer la faisabilité à bord.


Pour vérifier cette hypothèse, il faut définir dans un espace très limité :

- Comment ouvrir la survie (dé-sanglage, extraction avec le risque qu'elle se réveille à ce moment, etc...)
- Trouver et  extraire le gonfleur...
- Comment l'étaler sur le pont et trouver les valves de gonflage
- etc...


Amicalement
Jean-Claude

[Igloo]

Une chose que j'ai pratiquée lors d'une longué navigation: ouvrir soi-même sa survie, la controler et l'inspecter et si tout va bien, la refermer avec ses feuillards.
Bel exercice à mener à terre lors des tests pour la percuter le lendemain ce qui évite le travail sur la poche étanche. 
Igloo en autarcie

[Tosamdy]

Oui, dans un bateau, et sans doute par gros temps, avec en plus le stress.
Mais si le bateau coule que la survie percute pas (comme lors du test), si c'est la dernière chance, il faut le faire...




D'ailleurs, ce serait pas mal si les fabricants "prévoyaient" la chose.
En mettant un morceau de tissu fluo autour des valves de gonflage et le gonfleur plus accessible (comme le couteau)