La 4eme de couverture :
C'est à terre neuve que tout commence : "Fleur de passion", la goélette de ses rêves, la, devant lui, solide, le vrai bateau de pêche de 9.50m, le vieux gréement dont rêvent tous les marins! Coup de foudre. Début d'un roman de mer? Non, d'un roman d'amour. Et de haine. Avec la plus capricieuse, la plus infidele, la plus vacharde des maitresses. Flirts, menaces, scenes de ménage... rien n'y manque.
Pour son malheur. Et pour notre plus grand bonheur de lecteur.
Car "Fleur de passion" a du tempérament. Rétive comme bourricot aux douceurs comme aux menaces, pourquoi diable s'obstine t elle à reculer quand on veut la faire avancer? Sans même parler de son obstination...à couler. Remise à neuf, calfatée, bichonnée, rien n'y fait, elle coule.
Mais tous les malheurs ont une fin. Enfin c'est ce que veut croire notre amoureux transi. Huit ans. Huit ans de galeres, d'espoirs fous,d'échecs retentissants. Huit ans pour qu'enfin la têtue soit matée. Et que Farley Mowat entreprennede quitter sa côte natale pour recevoir l'accueuil qu'il imagine déja triomphal, à l'exposition de Montréal.
Ce sera bien sût sa suprême humiliation...
Le bateau qui ne voulait pas flotter : un classique de la mer, un chef d'oeuvre de l'humour.
Avis perso : Lisez le! On rit, on s'émeut, on le trouve taré mais on s'y attache tout de suite. Il n'y a qu'un seul moment ou on est déçu, c'est quand on l'a déja terminé.
A prêter.