La position du point d'ancrage sur la bôme du frein de bôme sera "idéale" si bôme débordée ce point vient à la verticale du point de retour vers le cockpit de la manoeuvre (généralement ue cadène de bas-hauban). Question d'angle de travail et de minimum de longueur. Mais rien n'oblige à respecter cet "idéal" en reculant le point d'ancrage raisonnablement. Par contre, j'insiste sur le montage décrit plus haut pour le respect de la fonction frein. Comme sur nos voiture, le frein est activé par la pression exercée sur la pédale de frein en fonction du besoin de freinage. Pouvoir bénéficier symétriquement de cette "pédale" et d'en jouer à la demande c'est indispensable à la bonne marche de la fonction frein pour le maximum d'efficacité et de sécurité. Igloo constant
La position du point d'ancrage sur la bôme du frein de bôme sera "idéale" si bôme débordée ce point vient à la verticale du point de retour vers le cockpit de la manoeuvre (généralement ue cadène de bas-hauban). Question d'angle de travail et de minimum de longueur. Mais rien n'oblige à respecter cet "idéal" en reculant le point d'ancrage raisonnablement. Par contre, j'insiste sur le montage décrit plus haut pour le respect de la fonction frein. Comme sur nos voiture, le frein est activé par la pression exercée sur la pédale de frein en fonction du besoin de freinage. Pouvoir bénéficier symétriquement de cette "pédale" et d'en jouer à la demande c'est indispensable à la bonne marche de la fonction frein pour le maximum d'efficacité et de sécurité. Igloo constant
Bonjour, perso, depuis plusieurs décennies, dans de la brise un peu forte au portant, c'est gênois seul. De même, les bords de spi en croisière familiale, c'est aussi sans grand voile.
Bien d'accord avec Olof, dans la brise en croisière. Si on est en traversée transocéanique dans les alizés établis au portant en équipage familial réduit, je ne connais pas d'autres solutions qui assure tranquillité et sécurité. Même si on roule un peu plus. Sous les grains, c'est si facile d'adapter la voilure. Igloo sans appel
Bonjour, perso, depuis plusieurs décennies, dans de la brise un peu forte au portant, c'est gênois seul. De même, les bords de spi en croisière familiale, c'est aussi sans grand voile.
Je ne nie pas l'utilisation du génois seul (entièrement déroulé, ou partiellement roulé); je l'utilise d'ailleurs beaucoup. Je donne dans ce fil juste une information, qui me donne satisfaction et peut être intéressante pour certains. Et pour revenir à la comparaison citée plus haut, avec deux bateaux similaires et les mêmes conditions de vent et de mer:
Une expérience comparative, lors d'une traversée vers Minorque.
Nous descendions, vent arrière, mon fils avec son Sun Shine et moi sur le Gib Sea 106, du cap Creus à Minorque, par une fin de tramontane (~20 nœuds) et une mer assez formée, avec encore quelques déferlantes; tous deux sous pilote automatique (les mêmes).
J'étais sous génois roulé à quelques tours, et le bateau embardait tout le temps, en faisant battre le génois et en mettant le pilote à rude épreuve.
Sur le Sun Shine, mon fils n'avait gardé que sa GV haute. Son bateau était bien stable sans embarder et finalement allait plus vite que le mien.
Vu l'état de la mer, je n'avais pas envie d'aller au mât pour envoyer la GV, mais l'ai bien regretté par la suite; car les embardées étaient telles, que le pilote s'est bloqué complètement.
Heureusement qu'il me restait l'AT 50 qui a repris du service pour terminer la traversée.
Pour la fin de l'histoire, le Simrad TP 10 qui s'était bloqué, au 2/3 du parcours, a repris du service les jours suivants.....et fonctionne toujours.