Le Bar Du Port

Mon approche de la charge de rupture équivalente au déplacement du bateau n'est qu'une conséquence de mon choix et non pas la règle, pour le choix en question.

En principe la tension qui s'exerce sur la ligne de mouillage est celle correspondante à la pression du vent sur le bateau (coque + gréement + tous les accessoires..), le déplacement du bateau n'intervient pas en statique.
En revanche, sur une rafale pas dans l'axe, lorsque le bateau se déplace transversalement, en jouant les balanciers, l'énergie cinétique, qui est fonction de la masse, devient non négligeable et à dimensions égales, un déplacement lourd exercera plus de traction sur la ligne qu'un déplacement léger.

Peut-être (probablement) ces données existent dans le bouquin d'Alain Poiraud...

Amitiés

Mal à la tête...

Peut-être que je me trompe, mais l’amortissement des à coups se fait par la longueur de chaîne dans l’eau.
Si le vent est fort et la chaîne tendue, alors le peu d’élasticité d’un cordage n’y changera rien.
Je pense aussi qu’un cordage bien solide avec un bel œil épissé sur le maillon devrait faire le job.
À condition que l’œil passe dans la poupée

Au salon nautique de Miami, nous avions aussi visité quelques marinas et discuté un peu avec des propriétaires de bateaux et j'avais été surpris par les mouillages de nos amis américains qui ne comportent pas de chaîne mais une grande longueur de cordage, dans les 150 mètres.
Avec mon pauvre anglais scolaire, j'ai quand même réussi à comprendre que l'élasticité du cordage était pour eux gage de sécurité.
Comme quoi, chacun voit midi à sa porte mais j'aurais aimé voir comment ils s'en sortaient avec l'évitage.

En cherchant sur le net, j’ai trouvé ça : https://physigeek.com/resistance-a-la-traction/

J’ai mal au crâne

J’ai fait passer le livre d’Alain Poiraud à Henri.
Il va le mettre dans la bibliothèque et vous pourrez y trouver les abaques de vos rêves.
Amitiés

Quand je serai rentré, je mettrais la bibliothèque à jour