Quant j'étais plus jeunes, le port, les propriétaires, mettaient dans une crique les bateau en fin de vie, c'était un formidable terrain de jeux, et on récupérait des objets laissés, une barre en bois, un transmetteur d'ordre, des feux, des cloches... des objets en cuivre qui seraient resté là pendant que la mer réclamait son tribu et faisait son œuvre. on avait top de respect pour l'âme du bateau pour le casser ou le détériorer. Que soient en bois ou en acier, ces cimetières avait une beauté et faisaient partie de la cote de Bretagne. ils étaient également plein de vie, de congres, de crabes, moules poulpes. c'est même la que j'y ai vu ma première limule en me demandant ce que ça pouvait etre, j'avais fait une photo pour demander au CNRS de Brest qui surpris avait envoyé une équipe pour les répertorier et un soir, c'était des milliers de ces bestioles qu'il y avait dans le port Rhu de Douarnenez.
Il est certains que ces bateaux n'étaient pas en plastique, ni en fibre de verre. Toutefois, il y a aux fonds des mers des épaves de bateaux en fibre qui ont fait de magnifiques récifs artificiels quant ils ne risquent pas de se fracasser sur la côte ou les rochers sous la puissance des vagues.
On peut même voir que ce qu'on considère comme de "la pollution" n'empêche pas la vie bien au contraire. ce fut une découverte faite après l'Amoco Cadiz quant plusieurs années après, la faune et la flore était bien plus riche qu'avant la catastrophe. les composé organiques du pétrole avaient stimulé la vie, et après une génération de crustacés et de bivalves, il y a eu un phénomène de détoxication complet. aujourd'hui malgré les catastrophes qui ont suivies la faune et la flore se porte très bien d'un point de vu sanitaires
la pollution semble donc plus visuelle. |