Dites les gars, ca s’appelle être tenace Bravo en tout cas, ces multiples tests vont vous donner de l’expérience et vous allez devenir une référence C’est super
J’ai déjeuné, ce midi à Lyon, avec Binchi. Il souhaite venir à Argeles avec son bateau. Igloo, sur un autre post, nous dit espérer être des nôtres. Ça risque de faire , en plus des tests, un sacré visu On ajoute Ben qui viendra de Nantes +++++ Qui d’autres ? L’organisation risque de demander du boulot, alors si vous souhaitez venir dites le rapidement pour savoir combien d’hébergement prévoir
Mon idée, c'est de venir avec Igloo. On pourrait ainsi accueillir car une cabine double et éventuellement 2 couchette dans le carré seraient disponibles. L'avenir nous le dira mais j'attends les dates. pour inscrire Argelès dans le programme 2019. Igloo
Pourquoi pas aller chez les Sudistes pour retourner a l'eau (pas encore sur, mais bien tenté...)
Une fois de plus, je sais que ce n'est pas le sujet de base, mais franchement, je pousserais bien l’expérience plus loin : Mettre une des survies, une côtière (et une a plateforme) sur un bateau, sortir en mer et la balancer en mer avec des vagues. Après, faire des tests pour monter a bord avec une brassière et aussi la retourner
Je pense que c'est parfaitement faisable en prévenant le Cross et encore plus facile, si la SNSM était de la partie Car je me posais pas trot la question avant, mais depuis ma baignade, j'ai un gros doute sur le fait de pouvoir monter a bord avec la brassière...
Puis encore une chose, ce serait peut être pas mal de convier les fabricants de survie afin qu'ils voient ce qu'ils nous vendent. Car je pense que ceux qui font les essais pour leurs survies sont souvent des sauveteurs, donc en super forme physique et bien sur n'ont aucun problème pour monter a bord
Faire des essais "en grandeur réelle", c'est toujours difficile car avoir une mer "démontée" le jour J, c'est quasiment la quadrature du cercle!
Personnellement, je pense que de responsabiliser les constructeurs sur la garantie de bon fonctionnement du bib tout autant que la garantie de la qualité du bib lui-même (matériaux, colles, étanchéïté) , accessibilité pensée et efficace, est ce sur quoi il faut se concentrer et porter notre exigence. Là est le combat à mener et gagner.
Que la forme physique soit une donnée importante pour juger de l'accessibilité au bib une fois gonflé, surtout qu'en situation réelle on peut être diminué, choqué, gêné par les vêtements du moment ...., mais comment rester objectif?
Ne pas oublier de parler de la position de stockage du radeau à bord en tenant compte de la nécessaire protection du radeau en position d'attente, de la facilité de lancement à partir de sa position du radeau en urgence, de prévoir l'embarquement de l'équipage dans le bib,.... Toutes choses qui restent sous la responsabilité de l'utilisateur et doivent être débattues sur ce forum.
Maintenant, les essais en mer auront un autre objectif en supposant que la première étape ait porté ses fruits. La prise de conscience par l'utilisateur des difficultés rencontrées et la mise au point de "modes" d'emploi en conditions réelles du lancement à l'embarquement et que dire de la décision d'abandonner le navire.
Il est certain qu'un BIB hauturier, pèse dans les 55 kg. Et à moins d'avoir un système de stockage sur le balcon, ou sur la jupe, la mise à l'eau peut s'avérer difficile, voir presque impossible, par une faible femme !!!
C'est pour ça que j'ai opté pour un côtier (29 kg) plus facilement manipulable. La navigation semi-hauturière (60 milles d'un abri) est suffisante pour aller en Corse ou aux Baléares.