Marketting...
Publié : ven. 22 mars 2024, 7:08 pm
Bonsoir tout le monde, cest Vendredi, youpi !!!
Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais nous pratiquons un loisir élitiste. ( non, pas éthyliste ! Quoique… ) C’est ce que je me disais en regardant Voile my Canal.
Et donc, pour bien se démarquer du commun des mortels, et surtout pour que ces mortels communs nous remarquent, il y a le look: sur le moindre t-shirt que tu mets le matin, si t’as pas écrit Helly Hansen, Musto, Gill, Bermudes, etc… si t’as pas aux pieds des Docksides ou à la rigueur des TBS – mais alors des Globeck sinon rien – et quand il pleut deux Dubarry, t’es pas crédible. Ou du moins, c’est ce dont on veut te persuader à grands coups de pubs avec dedans des bateaux, des vagues, du ciel bleu et des nanas que tu te demandes à quoi sert le peu de tissu qu'elles ont sur elles et où le skipper a trouvé des yeux avec un bleu pareil. Et ça marche.
Moi, je suis un peu border line : ancienne génération, un pied dans la tombe et l’autre sur le droit chemin avec mes T-shirs Décathlon, mes mocassins Clippers avachis, ma veste Tribord avec une tache de graisse graphitée qui ne part plus et mes bottes A L’aigle un peu ridées sur le cou de pied. Ah, si, quand même la veste de quart et la salopette Guy Cotten sur lesquelles j'ai craqué il y a19 ans.
Et je n’ai pas envie d'en changer.
Autant je ne lésine pas sur le matériel ou la sécurité, encore moins sur la bouffe ou la boisson, mais là, le look, j’y arrive pas.
Du coup, je me régale de regarder passer les gravures de mode qui partent le matin: manque rien, la panoplie complète, même le Jack Russel qui a son gilet Lalizas brodé au nom du bateau. Si, si, je n'invente rien…
Bon, là, faut quand même attendre le soir avec la brise qui souffle par le travers du chenal pour constater que l'habit, ben, il ne fait toujours pas le moine.
En fait, je ne sais pas qui a inventé le marketting, mais il est fort, le gars.
Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais nous pratiquons un loisir élitiste. ( non, pas éthyliste ! Quoique… ) C’est ce que je me disais en regardant Voile my Canal.
Et donc, pour bien se démarquer du commun des mortels, et surtout pour que ces mortels communs nous remarquent, il y a le look: sur le moindre t-shirt que tu mets le matin, si t’as pas écrit Helly Hansen, Musto, Gill, Bermudes, etc… si t’as pas aux pieds des Docksides ou à la rigueur des TBS – mais alors des Globeck sinon rien – et quand il pleut deux Dubarry, t’es pas crédible. Ou du moins, c’est ce dont on veut te persuader à grands coups de pubs avec dedans des bateaux, des vagues, du ciel bleu et des nanas que tu te demandes à quoi sert le peu de tissu qu'elles ont sur elles et où le skipper a trouvé des yeux avec un bleu pareil. Et ça marche.
Moi, je suis un peu border line : ancienne génération, un pied dans la tombe et l’autre sur le droit chemin avec mes T-shirs Décathlon, mes mocassins Clippers avachis, ma veste Tribord avec une tache de graisse graphitée qui ne part plus et mes bottes A L’aigle un peu ridées sur le cou de pied. Ah, si, quand même la veste de quart et la salopette Guy Cotten sur lesquelles j'ai craqué il y a19 ans.
Et je n’ai pas envie d'en changer.
Autant je ne lésine pas sur le matériel ou la sécurité, encore moins sur la bouffe ou la boisson, mais là, le look, j’y arrive pas.
Du coup, je me régale de regarder passer les gravures de mode qui partent le matin: manque rien, la panoplie complète, même le Jack Russel qui a son gilet Lalizas brodé au nom du bateau. Si, si, je n'invente rien…
Bon, là, faut quand même attendre le soir avec la brise qui souffle par le travers du chenal pour constater que l'habit, ben, il ne fait toujours pas le moine.
En fait, je ne sais pas qui a inventé le marketting, mais il est fort, le gars.