Auprès de mon arbre...
Publié : lun. 22 avr. 2024, 4:15 pm
Bonjour tout le monde,
Je ne sais pas le temps qu'il fait chez vous mais à PC, faut lester sévère pour ne pas s'envoler.
Du coup, hier, on a décidé de se faire un resto, c'est bien aussi.
Et à peine l'apéro servi, la conversation est venue tout naturellement sur les futures navs prévues pour cet été.
Déjà, on va éviter Marseille et les calanques entre le 24 Juillet et le 9 Août pour cause de J.O.
En fait, on va s'en tenir loin dès début Juillet et je pense qu'après le 15 Août, on pourra peut-être espérer retrouver des places en passager dans le Vieux Port.
Du coup, on a envisagé une descente en Espagne en flottille comme au bon vieux temps. Oui mais, va falloir naviguer, alors? Ben oui, et même peut-être de nuit.
Petits échanges de coups d'oeils inquiets, mais pas d'objection majeure.
Une fois le principe admis, la conversation est devenue un peu plus technique.
On ne peut pas parler de traverser le Golfe du Lion sans envisager le petit coup de Tram plein pif…
On a commencé avec les prises de ris. C'est quoi, ça? Ben en fait, nous n'étions que deux à avoir des GV classiques, tous les autres sont équipés d'enrouleurs dans le mât. Bon, ça simplifie.
Ensuite, contrôle de connaissances: d'abord le balisage. Alors là, grand moment: sur neuf propriétaires de voiliers, six ignorent superbement les cardinales, sept ne reconnaissent pas une balise de danger isolé. De jour, parce que la nuit, hormis les feux d'entrée de port -et encore il y en a qui se croient en zone B- c'est même pas la peine d'essayer. Bon, laisse tomber.
Le livre des feux, nous sommes deux – toujours les mêmes – à l'avoir dans la table à cartes. Et méa culpa, je n'ai jamais fait de mises à jour sur le mien.
Les survies, sur neuf bateaux cinq n'en ont pas. C'est vrai que dans la baie d'Aigues Mortes, ça ne sert pas beaucoup. Mais ces cinq bateaux sont entre 34 et 40 pieds.
Quand on a parlé de passer les nuits au mouillage, en regardant les mines s'allonger, on a bien compris qu'il y aurait certainement des défections de dernière minute.
Enfin, le repas était bon, le petit Gris des Sables aussi, on a quand même passé un bon moment. Et c'est vrai qu'on est pas mal à Port Camargue, pourquoi aller ailleurs?
Je ne sais pas le temps qu'il fait chez vous mais à PC, faut lester sévère pour ne pas s'envoler.
Du coup, hier, on a décidé de se faire un resto, c'est bien aussi.
Et à peine l'apéro servi, la conversation est venue tout naturellement sur les futures navs prévues pour cet été.
Déjà, on va éviter Marseille et les calanques entre le 24 Juillet et le 9 Août pour cause de J.O.
En fait, on va s'en tenir loin dès début Juillet et je pense qu'après le 15 Août, on pourra peut-être espérer retrouver des places en passager dans le Vieux Port.
Du coup, on a envisagé une descente en Espagne en flottille comme au bon vieux temps. Oui mais, va falloir naviguer, alors? Ben oui, et même peut-être de nuit.
Petits échanges de coups d'oeils inquiets, mais pas d'objection majeure.
Une fois le principe admis, la conversation est devenue un peu plus technique.
On ne peut pas parler de traverser le Golfe du Lion sans envisager le petit coup de Tram plein pif…
On a commencé avec les prises de ris. C'est quoi, ça? Ben en fait, nous n'étions que deux à avoir des GV classiques, tous les autres sont équipés d'enrouleurs dans le mât. Bon, ça simplifie.
Ensuite, contrôle de connaissances: d'abord le balisage. Alors là, grand moment: sur neuf propriétaires de voiliers, six ignorent superbement les cardinales, sept ne reconnaissent pas une balise de danger isolé. De jour, parce que la nuit, hormis les feux d'entrée de port -et encore il y en a qui se croient en zone B- c'est même pas la peine d'essayer. Bon, laisse tomber.
Le livre des feux, nous sommes deux – toujours les mêmes – à l'avoir dans la table à cartes. Et méa culpa, je n'ai jamais fait de mises à jour sur le mien.
Les survies, sur neuf bateaux cinq n'en ont pas. C'est vrai que dans la baie d'Aigues Mortes, ça ne sert pas beaucoup. Mais ces cinq bateaux sont entre 34 et 40 pieds.
Quand on a parlé de passer les nuits au mouillage, en regardant les mines s'allonger, on a bien compris qu'il y aurait certainement des défections de dernière minute.
Enfin, le repas était bon, le petit Gris des Sables aussi, on a quand même passé un bon moment. Et c'est vrai qu'on est pas mal à Port Camargue, pourquoi aller ailleurs?