Le Bar Du Port

Une expérience simple à mener. On dépose l'ancre (quelle qu'elle soit) et on mouille une longueur de chaine "étalon" qui se dépose sur le fond où on aurait mouillé.
On tire en arrière et on apprécie "l'effort" que fait le moteur pour amener le bateau à déraper. On recommence avec par exemple le double de longueur de chaîne cette fois et l'effort fait par le moteur. Et ainsi de suite.
Très vite on constate que la longueur de chaîne, dans la profondeur choisie, a une très grande influence sur la tenue.
Si on admet que la tenue du mouillage dépend de la force exercée sur l'ancre par la chaîne, on doit donc raisonner non plus en multiple de la hauteur d'eau (profondeur) mais bien en longueur maximum possible dans l'espace libre choisi.
Deuxième phénomène: la traction exercée sur l'ancre doit être le long du fond, sans angle de levée. Là encore, plus la longueur de chaîne est grande, plus grandes sont les chances que la force s'exerce parallèle au fond.
D'expérience, comme le pointe Koala, les ancres plates ont cette caractéristique négative une fois bien penaitré sur le fond d'arracher la motte prise dans leurs lames et de se mettre à glisser sur le fond ancre et motte sans espoir de raccrocher.
Si on a une ancre plate, il faut plus de longueur de chaîne et sans doute d'un diamètre plus élevé (poids).
Tout ça se nuance selon qu'on mouille pour un picknick ou pour laisser passer un coup de temps!
Erick

quand je prend un mouillage je fait toujours une machine arrière jusqu'a que tous ce tend une fois ca fait je pointe les amères en triangulation et voie après si on chasse ou pas , pour le moment jamais chasser , après ces vrai que j utilise mon ancre principalement au glénan et je prend toujours mes météo afin d être déjà a l abri et ensuite dans la nuit une surveillance est toujours faite , par contre certains ne le font pas et ce rapproche sévère parfois , encore une fois un manque civisme .